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Update content/articles/2025/2025-01-24_bilan-2024-voeux-2025.md
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Co-authored-by: Guilhem Allaman <[email protected]>
Signed-off-by: Julien <[email protected]>
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Guts and gounux authored Jan 20, 2025
1 parent 5d242c3 commit cc9225c
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Expand Up @@ -63,7 +63,7 @@ Comme toute chose numérique depuis l'automne 2023, nous sommes également trave

D'une part, au moment où nous lançons notre version anglaise c'est une opportunité pour traduire correctement les articles, de même pour résumer des articles en langues étrangères pour alimenter la veille. Cela peut également seconder des personnes mal à l'aise à l'écrit en français mais qui ont des choses à partager et l'envie de le faire.

D'autre part, si la visibilité n'est pas la finalité, nous subissons la concurrence des contenus générés qui, s'ils sont généralement médiocres et davantage destinés à nous bouffer le cerveau plutôt qu'à le nourrir, ils font un boucan pas possible sur les réseaux sociaux invisibilisant de fait nos articles et revues de presse... quand ils ne les repompent pas. C'est particulièrement flagrant sur LinkedIn où on peut voir des posts au fond creux mais qui résonnent fortement grâce des techniques destinées à stimuler l'engagement si cher à l'algorithme (3 premières lignes "putaclic" pour pousser à cliquer sur `... plus`, "lien de l'article en commentaire", "aimez ce contenu pour que je vous envoie l'article", etc.). Doit-on s'adapter pour ne pas être noyé dans la masse en créant des posts à partir de nos articles et revues de presse ? doit-on publier nos GeoRDP sous forme de condensés à hashtags pour maximiser les j'aime ? Ou continuer de publier tranquillement sur notre site ?
D'autre part, si la visibilité n'est pas la finalité, nous subissons la concurrence des contenus générés qui, s'ils sont généralement médiocres et davantage destinés à nous bouffer le cerveau plutôt qu'à le nourrir, ils font un boucan pas possible sur les réseaux sociaux invisibilisant de fait nos articles et revues de presse... quand ils ne les repompent pas. C'est particulièrement flagrant sur LinkedIn où on peut voir des posts au fond creux mais qui résonnent fortement grâce des techniques destinées à stimuler l'engagement si cher à l'algorithme (3 premières lignes "putaclic" pour pousser à cliquer sur `... plus`, "lien de l'article en commentaire", "aimez ce contenu pour que je vous envoie l'article", etc.). Doit-on s'adapter pour ne pas être noyé dans la masse en créant des posts à partir de nos articles et revues de presse ? Doit-on publier nos GeoRDP sous forme de condensés à hashtags pour maximiser les j'aime ? Ou continuer de publier tranquillement sur notre site ?

Enfin, cela pose évidemment des questions éthiques sur l'usage de ces outils pour Geotribu. Cela demande un effort supplémentaire de vigilance pour tenter de distinguer la part d'IA dans les contenus soumis à publication. Cela nous mène à nous interroger sur le curseur à placer entre la liberté de l'auteur/ice d'un article et la ligne éditoriale : doit-on proscrire les images générées par IA maintenant que nous en connaissons les effets délétères sur les droits des artistes et l'environnement ? Doit-on laisser chaque personne contribuant bénévolement utiliser les outils qu'elle affectionne sans discriminer ?

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